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Laurent Bordet

la Confédération Etudiante tire la sonnette d'alarme - 0 views

  • L’absence de mesures pour améliorer l’insertion professionnelle à l’Université dans le discours de la Ministre pousse La Confédération Etudiante à tirer la sonnette d’alarme. Alors que les assises de l’enseignement supérieur s’ouvrent peu à peu dans les territoires, la  question de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, primordiale pour l’avenir de notre pays et première préoccupation des étudiants doit être au cœur des concertations.
  • La plus grande difficulté rencontrée par les jeunes diplômés pour trouver un emploi est la méconnaissance du monde de l’entreprise.
  • L’Université dont nous avons besoin, c’est  une Université décloisonnée, ouverte sur le monde qui l’entoure, qui soit le terreau de l’innovation et de la création de savoirs et de richesses.    C’est pourquoi la Cé propose ses mesures pour l’insertion professionnelle : Mise en place de stages obligatoires dès la licence quelle que soit la filière. Généralisation des réseaux d’anciens étudiants dans toutes les universités comme dans les écoles pour permettre à tous les étudiants dès la première année de se construire un réseau nécessaire à l’insertion professionnelle. Organisation de rencontres régulières entre les étudiants et le monde de l’entreprise : forums, petits déjeuners RH, visites d’entreprises, interventions de professionnels et anciens étudiants… Création de modules de formation à l’entreprenariat et la création d’incubateurs/pépinières à l’intérieur des universités
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

La ministre de l'Enseignement supérieur veut valoriser et démocratiser l'univ... - 0 views

  • La ministre a déploré que 90% des étudiants titulaires d'un bac pro échouent à l'université dans le premier cycle "quand ils ne sont pas accompagnés". 9.900 intitulés de licences ou masters Elle a demandé aux recteurs d'accueillir en priorité les bac professionnels et technologiques dans les filières BTS, STS et IUT, "avec un accompagnement spécifique".
  • Pour rendre l'offre de l'université "plus lisible", elle veut simplifier licences et masters, qui totalisent 9.900 intitulés. Même les recruteurs s'y perdent, a-t-elle estimé. Cet automne, elle lancera une mission sur une e-université et l'e-formation.
  • L'allocation d'études supérieures promise par François Hollande fera l'objet d'une négociation avec les organisations étudiantes et ne devrait pas démarrer avant la rentrée 2013, a précisé Mme Fioraso à l'AFP.
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  • Enfin, la ministre a estimé qu'"il n'y avait pas de tabou" à faire payer les classes prépa aux grandes écoles mais qu'il fallait alléger le coût des concours.
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
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  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Le Figaro - Formation : Les étudiants du sud de l'Europe fuient la crise au nord - 0 views

  • Les destinations les plus demandées sont celles qui proposent le plus de formations en langue anglaise, plus faciles d'accès. D'après le site Studyportals, parmi les étudiants des quatre pays les plus en difficultés face à la crise, ils sont 27 % à se tourner vers la Grande-Bretagne et 17 % vers les Pays-Bas, qui offrent 1104 Licence et Masters enseignés en Anglais. La France se positionne en 5ème position des destinations les plus consultées par les étudiants, au même niveau que la Belgique.
  • Les Français sont eux aussi attirés par l'étranger, où les perspectives d'avenir leur semblent plus roses. Ils sont toujours plus nombreux à partir à l'étranger pour étudier et chercher leurs premiers jobs. D'après l'institut de sondage Gallileo, qui a enquêté en 2012 sur les ambitions professionnelles de 1600 étudiants de 16 des plus grandes écoles françaises, 23 % d'entre eux cherchent «prioritairement» leur premier job à l'étranger.
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